Laurent Arnold

Comédien, interprète le surveillant et le surveillant chef
Après avoir travaillé comme chargé de communication dans un organisme de protection sociale, j’ai opéré, à 30 ans, un virage à 180° pour intégrer une compagnie de théâtre, le Théâtre en Kit.
Aujourd’hui, c’est toujours au sein de cette compagnie que j’accomplis pour l’essentiel mon métier de comédien, metteur en scène et auteur.
Nous travaillons depuis de nombreuses années en résidence à Tomblaine (54), où nous gérons une salle de spectacle, le Théâtre de la Source.
Théâtre jeune public, théâtre adulte, théâtre d’entreprise, théâtre forum, organisation d’événements artistiques, 14 participations au festival d’Avignon où nous avons obtenu le Prix Tournesol en 2013.
Ce sont plus de 3.000 représentations que je compte à mon actif.
J’ai par ailleurs écrit et mis en scène près de 90 textes sur commande.
Je suis également co-fondateur de plusieurs manifestations, dont « Le Rendez-vous des Moutards », un festival annuel jeune public dont c’est la 17ème édition en 2023.
Cette implication quasi permanente ne m’empêche pas de collaborer avec d’autres lorsque le planning le permet, que ce soit en termes de mise en scène, de direction d’acteurs, de comédien ou encore de coach. C’est ainsi que j’ai joué le rôle du Dr Victor Frankenstein dans le « Frankenstein » de Fabrice Melquiot (jeu et chant), création de la Compagnie Rêveurcibles de Nancy. J’ai travaillé également avec la compagnie « Oh my coach ! », spécialisée dans le théâtre forum, avec qui j’ai obtenu le « Prix Direction[s] » en 2013. Pour la petite histoire, j’ai mis en scène un spectacle de magie « Mahni Baba » (grande illusion) pour lequel le magicien a décroché le titre de champion de France de magie en 2016.
Par ailleurs, je suis souvent engagé pour des commentaires audio (essentiellement voix-off et voice over) sur des documentaires ou films d’animation.
Et lorsque l’opportunité se présente, je fais l’acteur sur des longs métrages : « Ville à vendre » de J-P Mocky, un « Docteur Sylvestre » de J-P Vergne ou « Le temps de la désobéissance » de P. Volson